PE535a : 2007 - Official Visit of the Italian President, M. Napolitano
N°PE535a: service envelope of the european Parliament forwarded in REGISTERED «inaugural Address of the new President of the European Parliament, M. Hans-Gert Poettering, in presence of the German Chancellor Angela Merkel and of the President and the Commission Jose Manuel Barroso and discourse of the President of the Italian Republic, M. Napolitano»
Small cancellation TAD «European Parliament, Strasbourg» 14.02.07 on 5 PS 0,60 EUR 'Human library of Sélestat'+ complement Marianne
Drawing N°1/15
L'appel de la Chancelière allemande et du Président italien
Après la chancelière Angela Merkel mardi, le président de la République italienne Giorgio Napolitano a plaidé hier à son tour devant les eurodéputés pour une réforme institutionnelle de l'Union européenne dans le cadre d'un traité inspiré par la Constitution.
Et c'est un véritable « appel à la responsabilité des dirigeants politiques » qu'a lancé le chef de l'Etat italien leur demandant à respecter la « feuille de route » que dressera la présidence allemande en juin pour aboutir en 2009, au plus tard, à un traité reprenant l'essence de la Constitution rejetée par les Français et les Néerlandais.
Le président italien n'est pas hostile à certains aménagements mais, a-t-il prévenu, « ne rouvrons pas la boîte de Pandore, il faut bien réfléchir » en rappelant les longs débats de la Convention qui avaient abouti au projet de Constitution malmené.
Si Giorgio Napolitano dit faire confiance à la France (donc au futur exécutif français) pour aboutir à une solution, il a - comme la chancelière Merkel - mis en garde les sept Etats qui n'ont encore procédé à aucune ratification. Il leur demande d'« honorer leur signature » pour prévenir une nouvelle « fracture » en Europe. « Grâce aux coopérations renforcées, un groupe restreint de pays d'avant-garde, désireux d'aller de l'avant dans plusieurs domaines, pourrait se constituer dans l'UE. C'est toujours d'actualité, même si cette voie peut devenir dangereuse ».
Et Giorgio Napolitano de se demander si ces sept Etats - dont en premier lieu la Grande-Bretagne et la Pologne - envisagent vraiment de rester en marge de l'Union européenne... (Sources DNA)
Data sheet
- dateemission
- 14/02/2007
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